Pour le troisième et dernier jour de sa Visite d’Etat en Chine, le Président de la République, S.E. Paul BIYA, s’est rendu le 24 mars 2018 à Shanghai, poumon économique de la Chine.

Le Président Paul BIYA, accompagné de son Epouse, Madame Chantal BIYA, est arrivé en fin de matinée du samedi 24 mars 2018 à l’Aéroport International de Shanghai. Ils ont été accueillis à la descente de l’avion par le Vice-Maire de la ville de Shanghai, Monsieur XU KUNLIN.

Le Couple Présidentiel camerounais s’est par la suite rendu à la Résidence des Hôtes, pour une pause d’une dizaine de minutes, avant d’aller rencontrer le Maire de Shanghai, Monsieur YING YONG, pour un entretien de 30 minutes aux allures de séance de travail.

A cette occasion, le Maire de Shanghai a souhaité la bienvenue au Chef de l’Etat camerounais et à sa délégation. Après avoir relevé que le Président Paul BIYA vient à Shanghai pour la troisième fois, (après 1987 et 2003), il a souligné qu’un proverbe chinois dit que « Celui qui vient chez vous pour la troisième fois est un grand ami ».

Monsieur YING YONG a présenté au Président Paul BIYA les atouts économiques de la métropole de Shanghai, poumon économique de la Chine. Shanghai n’est pas seulement le symbole de la réussite chinoise, elle est aussi l’une des villes les plus peuplées du monde. Plus de 20 millions d’habitants, parmi lesquels 3 millions d’expatriés, dans les 18 quartiers de la ville.

Le Président Paul BIYA a remercié le Maire de Shanghai pour l’accueil chaleureux et lui a exprimé son appréciation du dynamisme de la ville de Shanghai qui ne cesse d’étonner même le visiteur  qui y revient à plusieurs reprises.  Cette rencontre chaleureuse s’est achevée par un déjeuner offert par le Maire de Shanghai en l’honneur du Couple Présidentiel camerounais.

Dans l’après du samedi 24 mars 2018, le Président Paul BIYA et Madame Chantal BIYA se sont rendus à l’entreprise COMAC (Commercial Aircraft Corporation of China Ltd), un constructeur d’avions chinois. A bord d’un C919 en construction, le Chef de l’Etat camerounais a pu toucher du doigt et apprécier le savoir-faire chinois en matière d’aéronautique.